RSA - Garantie Jeunes   - ASPA - Droit Constitutionnel - Ségrégation - Economie
En France: une politique catégorielle discriminatoire,  anti-économique et anti-Constitutionnelle

 
Nous demandons:
1 ) le RSA,  pour les Français de 18 à 25 ans, en manque de ressource.
Actuellement c'est 0 euro d'allocation de survie alimentaire. Une exclusion illégale par idéologie médiocre !
Un scandale juridique, sociologique et  humanitaire !
Une catégorie de Français ciblés par l'âge,  rejetés, méprisés par la France au nom des "valeurs républicaines", de "l'état de droit", des "droits fondamentaux", etc...
Ce rejet discriminatoire est un fait juridique par le n°1 de l'article L.262-4 du CASF (Code de l'Action sociale et des Familles) alors que le n° 1 de cet article est contredit,  par notamment, les articles L115-1, L121-5, L262-2  du même Code ainsi que par le Préambule Constitutionnel. 
C'est une sanction alimentaire contre ces Français alors que la sanction alimentaire n'existe même pas en Droit Pénal  pour les criminels avérés !

2 ) Nous demandons l'individualisation des prestations sociales car  le conjoint n'est pas 1/3 ou 50 %  d'un être humain, un accessoire facultatif du "chef de famille".

3) Nous demandons la "permission" de vivre en couple pour les allocataires pauvres sans diminution des prestations sociales individualisées.
Ces contrôles scandaleux de la vie privée sont indignes, anti-sociaux et anti-économique.
Certains allocataires pauvres, en couple, sont traqués comme du gibier pour réduire leurs allocations.
4 ) Nous demandons l'arrêt de la récupération de l'Aspa, (la retraite sociale n'est actuellement qu'un prêt), sur les héritages car c'est une planification de la transmission générationnelle de la pauvreté et cela empêche les enfants des plus modestes d'accéder à un logement ou autres améliorations de leur vie. Cela est aussi clairement anti-social, anti-solidaire et contraire à la distribution sociale dans d'autres secteurs. Une discrimination ciblée de plus contre les plus pauvres !
5) Nous demandons l'augmentation du RSA dont le faible  montant, fixé arbitrairement (sans étude),  est indigne et déconnecté du coût de la vie en France. 
6) Nous demandons la suppression de la "Garantie Jeunes" qui ne garantit rien, (pour les personnes de 18 à 25 ans),  et donc  nous demandons un droit d'accès au RSA comme pour les autres Français (et résidents intra et extra- européens) sans ressource. C'est un système infériorisant, menaces et sanctions sont permanentes.
Cette "garantie jeunes"au versement très discrétionnaire) est une tromperie sémantique pour faire croire qu'elle peut remplacer le RSA et que la Constitution est respectée.
Ce n'est pas le cas !

7) Nous demandons  la fin des pseudos-contrats "d'insertions", des pseudos-contrats "d'engagements réciproques" et autres âneries du même type qui ne servent juridiquement qu'à sanctionner et inférioriser plus facilement les Français afin de les discriminer  par la suspension ou radiation de leurs droits sociaux.
Juridiquement ce ne sont pas de vrais contrats mais de simples formulaires de demandes d'allocations de survie alimentaire.
La demande de contrepartie comportementale est illégale, le Préambule Constitutionnel est opposable.
8) Nous demandons le rétablissement du droit d'appel en justice qui a été supprimé pour les problèmes sociaux,  il a aussi un refus discrétionnaire de l'aide juridictionnelle en Cassation.
Ainsi les Français pauvres n'ont pas un accès normal à la Justice malgré les discours.
9) Nous demandons l'abolition de la NOTE D'INFORMATION N° DGCS/SD1C/2012/167 du 18 a vril 2012. C'est une directive appliquée. A lire absolument.
En quatre pages, il y a 14 fois le mot "sanction" ou "sanctionner" contre les personnes au RSA. Mêmes pratiques pour les personnes en "Garantie Jeunes".
Une obsession maladive de  la sanction discrétionnaire contre les pauvres.  Voir "l'exemple" de sanction en fin du n° 3.
C'est une condamnation à mort par la famine qui est demandé contre des Français par la célèbre signataire Sabine.  Lisez jusqu'au bout, c'est incroyable !
Cette Note est appliquée, est titrée ( par erreur très bête ou par provocation ironique) "Exclusion" et c'est exactement ce qui est demandé 14 fois dans cette Note.
Une "action sociale" par "l'exclusion" des droits sociaux de survie alimentaire contre certains Français sans ressource ! un acharnement contre les plus faibles !
https://solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2012/12-05/ste_20120005_0100_0093.pdf   (même lien)
Impitoyable ! Il faut mater les pauvres par le chantage de la torture de la famine. C'est une violence planifiée qui n'existe même pas en droit Pénal contre les criminels.
A quoi servent  tous les Elus, Juristes (Constitutionnels), associations, forces sociales  qui soutiennent cela ?  dans un silence  coupable ou activement aussi !
Principe de disproportion;
il y a une énorme différence juridique entre le contrôle normal des ressources pour percevoir une allocation alimentaire, le RSA, Garantie jeunes, l'ASPA et vouloir mâter discrétionnairement la population, par le chantage de la nourriture 
afin de la sanctionner en s'appuyant sur  des pseudos-contrats  comportementaux d'insertion (PPAE) qui ne seraient pas signés ou observés. Ou en diminuant les allocations de 30 % pour les couples déjà pauvres.
Ces textes juridiques hypocrites jouent sur les mots et le glissement sémantique pour faire semblant de respecter la Constitution Française.
Ces amalgames sont illégaux et anti-Constitutionnel.
"L'insertion" est un ovni juridique, elle n'existe pas dans le lexique juridique.
Cette "NOTE D'INFORMATION" va au-delà de l'incitation, elle est strictement appliquée contre la population déjà en soufrance psychologique et alimentaire.
 
Ces "mises en oeuvre" concrètes de la  discrimination par l'âge, pour ceux qui ont moins de 26 ans et les autres discriminations se  font au nom de l'INSERTION, de l'INCLUSION, de l'ACCOMPAGNEMENT...
Autant de mots stigmatisant, infériorisant, n'ayant aucune valeur  juridique et  relevant d'un  gargarisme politique condescendant et pseudo-social contre les plus pauvres.
Gardez votre "accompagnement" ridicule et infériorisant et versez d'abord les droits sociaux auxquels les Français ont droit.

Le droit à 0 Euros, c'est le minimum SOCIAL  catégoriel le plus bas, mis officiellement en place depuis 1988 contre  les personnes Françaises de 18 à 25 ans sans ressource par le
N°1 de l'article L.262-4 du CASF, Code de l'action sociale et de la famille.

Une ségrégation abjecte, plus forte que le racisme "ordinaire", contraire à la Constitution qui est toujours supérieure aux Lois discriminatoires !

Ces Français, sans ressource,  n'ont même pas droit au RSA., Revenu de Solidarité Active.
Ejectés
juridiquement de l'accès aux Droits Fondamentaux en France !
Ils ne perçoivent rien ! droit à 0 euros !  Demandez le RSA, vous n'aurez rien car vous n'êtes qu'un Français (ou résident) entre 18 et 25 ans révolus.
C'est une maltraitance sociale silencieuse, personne ne veut en  parler alors que cela relève d'une QPC, Question de priorité Constitutionnelle.
Il y a une censure médiatique, politique et institutionnelle sur ces problèmes concrets et immédiat;
qui peuvent être résolus en 24 heures, notamment par le L121-4 du Casf dans chaque département et/ou au niveau National si le Droit Constitutionnel était appliqué.

Quant à  la "Garantie Jeunes", ( c'est de l'humour juridique ecoeurant),  cette appellation est un abus de langage volontaire, par inversion des faits, destiné à tromper et faire illusion sur le respect de la  Constitution face à ce traitement illégal de certains Français (et résidents) en matière de survie alimentaire. Un vrai scandale !

De fait, il n'y a  strictement "aucune  garantie" d'une allocation pérenne  pour les Français de 18 à 25 ans sans ressource.
La très grande majorité de ces "Jeunes" (terme devenu, hélas, péjoratif)  refuse absolument de rentrer dans ce système de surveillance infantilisant et inadapté des associations "Missions locales" inutiles.
Inutiles  car un simple formulaire de la CASF  peut  remplacer les "missions locales" pour percevoir une allocation de survie. 
 .
Il faut savoir que ces associations "Mission Locale" ont pour "mission"  de signaler, de dénoncer (par un choix très discrétionnaire) les personnes qui doivent être sanctionnées à une "Commission"  des services "sociaux" qui, elle, va  re-décider, concrètiser s'il faut ou non sanctionner, punir  (discrétionnairement aussi) une personne qui est sans ressource financière ! 
C'est le chatîment social  grâce aux délations des Missions locales ! R5131-12 du Code du travail
Une invention, une misérable astuce  juridique Française: "le double échelon discrétionnaire" pour mieux sanctionner, dans l'irresponsabilité collégiale,  par la décision de supression de la petite allocation de survie alimentaire !

L'allocation  "garantie jeunes" est bien une allocation de survie alimentaire car juridiquement elle n'est donnée que s'il y a un manque de ressources de la personne.
MAIS c'est discrétionnairement et illégallement quelle est supprimée si la personne n'a pas assez rampé devant le personnel de l'association et autres ir-"responsables";
(comment peut-on avoir le culot de supprimer une allocation de survie alimentaire à des Français, dormir tranquille et faire des pseudo-discours sociaux dithyrambiques!)

Car cette décision de sanction, contre les plus faibles,  demande une grande réflexion intellectuelle. Il faut, même, se réunir à plusieurs pour en "discuter".
Il faut "trier",
selon des critères inventés et arbitraires, les "bons" et les "mauvais" Français à punir par une suppression de la pseudo "garantie jeunes".
C'est un "triage" , en quelques secondes, d'une certaine catégorie d'êtres humains déclarés "mauvais" afin de  leurs interdire de percevoir  une allocation minimum de survie alimentaire.
Ce "triage" exécutoire (un coup à gauche, un coup à droite )  est historiquement sinistre...et anti-Constitutionnel ! (chômeurs et personnes au RSA sont  concernées aussi, même système de triage arbitraire  organisé) il faut soumettre les personnes en état de faiblesse au nom de "l'Etat de droit"
Et les menaces et sanctions arbitraires tombent contre ces pauvres personnes sans défenses et déjà en état de faiblesse. 0 euro d'allocation. ( C'est "Garanti" pour les jeunes et autres).
Il faut les achever pour qu'ils ne s'en sortent pas ! Ils n'ont pas obéi aux injonctions abusives du personnel d'associations "Mission locale"
Ces pratiques illégales écoeurent  la jeunesse Française sans ressource qui ne fait plus confiance à l'Etat de droit. Bravo !
Des Associations sont subventionnées et  à l'origine de ces décisions de sanctions contre des Français (et quelques résidents).
Belle "collaboration" entre des intérêts très privés, mais très subventionnés et le service public !
0 euro d'allocation, pour des Français sans ressource, c'est une absence de service public  et c'est parfaitement illégal.
"Paragraphe 2: Fin du contrat et sanctions" 
Code du travail article R5131-11 et suivants;  (Rappel: juridiquement ce ne sont pas de vrais contrats, c'est du zéro juridique et de plus signés sous contrainte alimentaire, par l'état de nécessité, donc nul de fait)
"L'aide sociale" est un droit, un acquis Constitutionnel et ne peut faire l'objet d'un contrat, (d'application discrètionnaire ou non).
 
Les Français ciblées, de 18 à 25 ans sans ressource, sont EXCLUS  du "droit social commun" du RSA  par les articles L.262-4 n° 1 du CASF depuis 1988
Des millions de jeunes Français ont été dés-insérés, éjectés  du "droit social commun", par choix  idéologique discriminatoire contre la jeunesse,  par "l'Etat de Droit".
Ce sont les "anti-valeurs  humanitaires" de la France qui s'appliquent  à certains Français ciblés par l'âge et la pauvreté.


Alors que les "Jeunes" Français sont juridiquement des "Personnes",  ils n'ont pas à être infériorisés et discriminés par rapport aux autres Français.
Les demandeurs d'asile extra-européens du même âge  bénéficient de l'article protecteur:
D744-17 et 18 du  Code des étrangers, CESEDA
sorte de rsa avec des avantages discrétionnaires...
Alors que des Français sans ressource du même age sont interdit de RSA par le n°1 de l'article
L.262-4 du CASF.  Choquant !

Cette absence « d'aide sociale légale » catégorielle est juridiquement une négation totale du "Genre Humain" de ces personnes Françaises sans ressource.
Pendant 8 ans, de 18 à 25 ans, elles n'ont pas droit  à une allocation pérenne de survie alimentaire dans un "Etat de Droit" qui organise cette exclusion par l'âge au nom de théories et d'idéologies médiocres:
l'aide sociale punitive, l'accompagnement par la sanction, l'insertion par le châtiment, etc...

Il existe une allocation  "garanti jeunes" (non garanti) de un an maximum (très rarement renouvelée pour 6 mois, 1,8 % en 2018) mais c'est un vrai parcours du combattant inadapté à une jeunesse en grande difficulté sociale, psychologique et qui refuse d'aller participer à de ridicules séances de ré-éducation et de contrôles  (style confessions semi-publiques ou auto-critiques  inspirées du grand Leader  démocrate Mao-tsé-Toung) devant du personnel autoritaire d'associations "mission locale"

Il faut en plus que les PERSONNES en  pseudo "garantie jeunes" remplissent des cases de  rapports d'activité journalières afin de les sanctionner discrétionnairement si cela ne convient pas aux "Missions Locales". C'est de l'arbitraire total.

Complètement débile et infantilisant pour des adultes.
Être pauvre et sans travail n'est pas un délit,  chacun a droit à sa vie privée et  à survivre dans la dignité.

Les rares personnes qui arrivent à percevoir cette allocation garantie jeune sont exclues et/ou menacées d'exclusion bien avant la fin de l'année du pseudo-contrat;
Le problème de l'exclusion des droits sociaux normaux se pose pendant 8 ans:  de 18 ans  (parfois  depuis 16 ans) à 25 ans.  Sans ressource à 16 ans, ça existe !

Cette "mise en oeuvre" de la dés-insertion sociale des personnes par  un  refus d'attribution d'une  prestation sociale de survie alimentaire  est contraire à la Constitution, à son Préambule opposable, aux droits fondamentaux des humains et à l’intérêt général réel qui a été détourné de son sens.

(Il arrive aussi que le RSA, à partir de 26 ans,  soit  parfois in-activé, suspendu  discrétionnairement,  même si vous êtes sans ressource  avec enfants mineurs). Confirmé par des Juges en Référé et au Fond.
C'est  la "solidarité active"  à la Française mais sans aucun  "revenus" d'allocation ou avec des réductions arbitraire !
encore de l'humour juridique ! solidarité active in-activée !
Une mise en oeuvre concrète de la solidarité "in-active",  contre les Français ! (Car nous aidons financièrement les autres peuples sans demander l'âge des personnes )
 
Les représentants de l'Etat Français n'ont pas à punir, à sanctionner les plus pauvres et les plus faibles des Français pour les "accompagner" et les maintenir dans la Misère !

Certaines personnes sont discrétionnairement sanctionnées pour n'importe quoi, (donc 0 euro d'allocation),  avant même d'avoir trouvé un travail !
Elles sont censées travailler au minimum un mois, ou plus, sans manger avant de toucher le premier salaire, logique ! et facile ! Essayez donc de jeûner un mois !
Cette obsession maladive (psychiatrique) de la sanction contre les pauvres  concerne aussi les personnes au RSA, les Chômeurs et les couples de retraités sociaux.
Il faut punir, inférioriser discrétionnairement, à la tête du "client", les personnes sans défense. (c'est plus facile, il n'y aucun risque, ni courage nécéssaire... dans l'anonymat des décisions collégiales)

Il n'y a juridiquement aucune contrepartie comportementale à demander aux personnes en manque de ressource concernant  le droit d'accès à une allocation de survie alimentaire.
Les pseudos-contrats à signer  ne sont juridiquement que des formulaires de demandes d'allocations de survie. Pas de vrais contrats synallagmatiques.

Le manque de ressources est juridiquement le seul critère légal d'attribution d'une allocation  de survie mais certains  désiquilibrés inventent d'autres conditions à partir de textes juridiques flous, (à double sens)  qui relèvent d'une QPC car la Loi doit être claire en matière de Droits Fondamentaux et de sanctions.

Un droit social qui est conditionné à des pseudos devoirs (subjectifs) de contrepartie comportementale est un droit social  qui n'existe pas !
"Droits et devoirs"
est  une contradiction juridique, donc inapplicable. Ce n'est qu'un titre, un slogan politique manipulateur, ce n'est  pas un  article de Loi.
Si c'était le cas il serait anti-Constitutionnel. (sauf en tant de guerre ou de réquisition particulière)

Le n° 1 de cet  article  L.262-4 du CASF est inapplicable et contredit  d'autres articles de Loi du Casf et autres Codes :

L.115-1, L.121-4, L.262-1, L.262-2,  etc... du CASF. 
Les "conditions" indiquées n'autorisent pas juridiquement une discrimination par l'âge, sorte de racisme ciblé  anti-jeunes Français et résidents:
Le franchissement du seuil de pauvreté est évalué en France à  moins de 900 à 1200 euros de perception  revenus pour une personne seule.

1 ) De 18 et 25 ans:   0 euros .  Pas de minimum social ! L'Etat de droit ne s'applique pas pour cette "catégorie" de  personnes ciblées et sans ressource. Eliminées.
Si c'est un couple de 18 à 25 ans, le calcul est bien plus compliqué pour la CAF et autres...: 0 euros + 0 euros =  0 euros pour deux personnes ! grâce au Législateur.
2) A partir de 26 ans: 560 euros de RSA Reconnaissance par l'Etat des besoins alimentaires mais seulement à partir du jour anniversaire de 26 ans pour les Français. (Avant 26 ans 0 euros !)  S'il y a un conjoint, suplément de la moitié du RSA, normal le conjoint n'est qu'un "accessoire",  insignifiant !
3) A partir de 65 ans:  903 euros en retraite sociale ASPA,  pour ceux aussi sans ressource.
Mais pour les couples cette somme n'est  pas multipliées par deux. Seulement un très petit supplèment car le conjoint n'est pas grand chose...(presque un animal de compagnie)
Où est la logique juridique, biologique et humanitaire ?
C'est du n'importe quoi  idéologique et juridique !
Quels sont, ici, les critères de la survie alimentaire et des droits fondamentaux ? 
Aucune cohérence juridique dans cette disproportion planifiée entre êtres humains d'un même Pays !
Une bouillie juridique  contre-productive qui entraine de la misère, des maladies, des procés inutiles, des renoncements, etc...plus grave ...

Nous refusons aussi les scandaleux  "bons d'achats" pour pauvres ou "bons alimentaires" inferiorisants et stigmatisants. Encore une bouillie juridique attentatoires aux libertées individuelles.

Retraite sociale:  l'ASPA  n'est qu'un prêt remboursable sur les modestes héritages (s'il y en a ).
C'est une absence juridique de solidarité nationale ciblée à l'encontre des personnes âgées
Cette retraite est donc  récupérée par les Départements afin d'être sur de pérenniser une transmission générationnelle de la pauvreté. Et ça marche très bien !
Les enfants de pauvres, qui n'ont pu aider leurs parents,  doivent rester pauvres. C'est du social à l'envers ! Héritages interdits, (ou si peu) 39000 euros maximum à partager.
(Juste de quoi rembourser les crédits revolving des enfants).
Pourquoi donc  construire, entretenir ou faire des travaux à crédit sur un appartement ou une maison familiale qui va être saisie ?
Autant tout  détruire avant ou laisser la toiture se détériorer... !

Il est évident que si ces retraités sociaux avaient un patrimoine suffisant ou des enfants aisés, ils ne demanderaient pas l'ASPA.
D'ailleurs ils n'y auraient pas droit et le système d'évaluation compensatoire  est inadapté à la réalité sociale et à la réalité économique de l'entretien des maisons et appartements
Certains retraités préfèrent l'extrême misère et ne demandent même pas l'Aspa pour laisser un petit héritage à leurs enfants. Certains meurent plus tôt ...

Où sont les vrais juristes Constitutionnels ??? en vacances depuis 1988  (et avant) ? Où sont les autres:  juristes, politiques, syndicats, média,  élus,  humanistes, ... ?
Ils collaborent !  (Quelques très rares exceptions ont combattu ce système discriminatoire, d'autres  font surtout semblant ...un peu de bruit pour le spectacle et plus rien, silence complice)

Beaucoup d'associations subventionnées vivent de ce système discriminatoire, elles ne demandent donc pas le respect de l'Etat de droit et de la Constitution  mais indirectement la stricte pérennité des inégalités pour
l'augmentation de  leurs subventions... La pauvreté ça rapporte ! à certains...Le business du social.
 
Dans la période du pseudo-contrat "garantie jeunes" , l'attribution et l'arrêt d'une éventuelle  allocation  est  discrétionnaire d'un mois sur l'autre.
( La "garanti" discrétionnaire, encore de l'humour juridique contre les jeunes )

L'arrêt se fait par surprise, par motifs inventés et les personnes n'ont plus aucune ressource, une condamnation à la famine, à la déchéance !
Il n'y a aucune sécurité juridique concernant la survie alimentaire de ces personnes Française (et résidents) alors que c'est un  droit fondamental !
Et des centaines de milliers de personnes concernées  ont refusé d'entrer dans ce système  très coercitif  et infantilisant.  Un système indigne.
Un échec social connu de tous les responsables ! Une lutte "pour"  le maintient  pauvreté d'une redoutable efficacité !

Un "travail" en profondeur de déstabilisation de la société soutenu par les forces sociales du Pays

Solution immédiate: L'article L.121-4 du CASF permet toutes les rectifications et améliorations de droits sociaux maintenant, en 24 heures,  suivant aussi  l'article L.115-1 du Casf et le Droit Constitutionnel.

Et il n'y a aucun problème de financement, malgré la propagande. L'argent retournerait, dans le mois, dans la poche des commerçants et de l'état ( tva, impôts, etc.., avec augmentation du  PIB en prime, très lègère relance de la consommation); mathèmatiquement la création monétaire doit être étatique pour les dépenses de l'Etat souverain qui est le garant de la monnaie.

Des Elus humanistes  (à trouver...) pourraient  se servir maintenant de cet article L.121-4 du CASF qui correspond aux situations  sanitaires et sociales d'améliorations pour les plus modestes.
(Le Législateur a prévu cet article pour pallier aux incohérences juridiques décrites ici, en particulier contre la ségrégation des personnes Française sans ressource de 18 à 25 ans )
Les autres Elus seraient obligés de suivre l'exemple (et enfin les garanties Constitutionnelles) car ils se sentiraient ridicules et en danger juridiquement.

Coût du RSA seulement 11 milliards d'euros. Redistribution sociale en France presque 1000 milliards. PIB 2500 milliards d'euros. Paradis fiscaux assistés 25000 milliards minimum (plus les coffres  bourrés d'or, de diamants,de billets,  etc...et d'actes immobiliers)

Le RSA socle fixé arbitrairement à 564 euros (en 2020) est totalement  insuffisant pour survivre,  (nourriture, chauffage, eau, gaz, électricité, assurances, habillement,...)
sans voiture bien sur. Alors que le gouvernement reconnaît que l'ASPA à 903 euros est insuffisante, où est la logique de survie biologique ?

Par cette différence financière d'allocations de survie (aspa / rsa à partir de 26 ans seulement),  les Personnes au RSA  sont considérées comme  des demi-êtres humains et les conjoints encore moins.
Quant aux  Personnes Françaises ou Résidentes de 16 à 25 ans, sans ressource,  elles sont  éjectées de la "catégorie humaine"  pendant 10 ans de 16 à 25 ans:  droit à  0 euro


C'est un triage arbitraire, il n'y a pas à inventer des catégories et à trier  des êtres humains Français qui auraient le droit accéder ou de ne pas accéder aux droits fondamentaux de base.

"Genre humain" et "Droits Fondamentaux" que ces Français de 16 à 25 ans révolus, en manque de ressource, retrouvent, subitement à minuit et une seconde, le jour anniversaire de leurs 26 ans pour pouvoir ne percevoir qu'un RSA discrètionnaire !  Ce fait est ridicule et illégal Monsieur le Législateur ! La Constitution et le "bloc de constitutionnalité" s'oppose à vous.
Une totale  abérration juridique, une double persécution contre les plus faibles de la société pour les empêcher de se sortir de l'extrême pauvreté, par manque de moyens.

Alors qu'il n'y a aucune "différence de situation" biologique ou de précarité à minuit et  une seconde, le jour anniversaire des 26 ans

Ce plan de discrimination méthodique est conforme à une idéologie anti-sociale extrême et médiocre  mais pas à la hiérarchie des normes de Droit, ni à la Constitution Française.

Il faut aussi une individualisation des prestations sociales ASPA, RSA, (ou un Revenu de base) car le conjoint est fortement infériorisé en termes financiers.
Il a droit à un petit complément d'allocation qu'il ne perçoit  même pas directement puisqu' il n'est
QUE le conjoint (une femme souvent). Presque rien...!
Par cette discrimination financière, le conjoint est une sorte d'accessoire, sans besoins vitaux d'une existence digne. 

 
Donc ce Code de "l'action sociale et de la famille", incite, impose aux couples de se séparer ou de divorcer pour percevoir un minimum d'allocation de survie alimentaire en plus si la personne  est seule. (c'est très social et très famille, n'est-ce pas !?) 
Avant ce même Code
s'appelait  "Code de la famille et de l'aide sociale",  ce titre trop accés sur la "famille" et trop accès sur "aide sociale" a donc été supprimé par manipulation sémantique... ! :
"L'action sociale" (concept fumeux et très discrétionnaire) est inférieure juridiquement à "l'aide sociale légale" Constitutionnellement protègée.
"L'aide sociale légale" est un droit pour les Français (et résidents), par contre, "l'action sociale",  elle, permet les injustices contre la population car elle inéquitable, discrètionnaire même si parfois elle rend un vrai service.
Mais certaines personnes Françaises n'ont droit ni à l'une ni à l'autre (Français sans ressource de 16 à 25 ans, personnes sans ressource suspendues ou radiées de l'allocation)

Ensuite la "Chasse à Courre" des contrôles contre les anciens couples est ouverte, Taïaut , Taïaut... ! très amusant la Vénerie ! Il faut surprendre le "gibier"... et l'achever par la sanction financière, c'est le "Graal" du social.
Des  accusations subjectives, fantaisistes ou vraies  de vie en couple persistantes sont alors lancées.
Les pauvres doivent se défendre qu'ils soient "coupables" ou non dans l'ambiguité des relations humaines fluctuantes.
Coupable de vivre à deux, c'est très très grave  quand ont perçoit le RSA ou l'ASPA retraite sociale.
Pourchassé, surveillé, sanctionné même à 70 ou 80 ans et plus, minable !
Cette "Chasse à Courre" contre des humains (Français) est indigne de la France !
Où sont les Juristes
Constitutionnels !? il y a évidente disproportion et vie privée bafouée !
Quelle est la rentabilité économique ? 0 euros, c'est ridicule ! Juste l'envie de faire du mal à des pauvres. Quel courage !

Mais les  personnes Françaises en couple qui ont de 18 à 25 ans, sans ressource,   pourront elles  rester ensemble puisque elles n'ont droit à rien:
0 euro, c'est un fait et  un "Droit", qu'elles soient  seules ou en couple suivant ce même Code très social, CASF.
Merci le Législateur, Merci les Députés et Elus , Merci la CAF pour cette "autorisation" de vivre en couple et de percevoir chacun 0 euro pour deux personnes ensemble:
0 euro + 0 euro pour le conjoint =  0 euros.  (C'est de la mathématique "sociale" d'accompagnement, parait-il !) encore de l'humour juridique contre des Français.
Un Droit Social que le Monde entier nous envie (parait-il) ! Les pauvres seraient avides de percevoir 0 euros
Un  "idéal républicain" d'exclusion des jeunes Français soutenu par toutes les forces vives de la nation et les "partenaires sociaux" complices ou organisateurs !?

La solidarité nationale et les situations avantageuses de quasi-monopoles économiques s'exercent généreusement dans presque tous  les secteurs de la vie économique,  pour ceux qui sont déjà favorisés, mais concernant les personnes les plus faibles en ressources, elles sont encadrées, maintenues dans un système extrême, minimaliste, de survie alimentaire  les empêchant de s'en sortir  pour la grande majorité.
Quant aux  personnes Françaises (et résidentes) sans ressource de 18 à 25 ans, elles sont  juridiquement exclues  par l'Etat de Droit d'un  minimum social alimentaire.
Ceci est anti-Constitutionnel ! anti-humanitaire ! (les réfugiés extra-européens sont mieux traités)
Ceci est contraire à la hiérarchie des "Normes de Droit" quelles que soient les interprétations fantaisistes de certains juristes, politiques,  élus et responsables...et les nombreux rapports et études sociales dithyrambiques qui ressemblent  plutôt à de la psycho-zoologie sociale inutile ! des phrases, des phrases...
Etudier la pauvreté,  quel sujet complexe ! quand elle a été planifiée alors qu'il y oppulence technologique, industrielle et financière depuis plus de 100 ans.

Il vaudrait mieux apprendre à maitriser (et critiquer) les arcanes des  contre-vérités du système bancaire et de la création monétaire non-Etatique, ratio Cooke, accords de Bâle 3 dévoyés pour endetter les Etats, etc... pour comprendre et contrer les phénomènes de pauvreté organisée et les pseudos-crises planifiées pour capter les richesses.
Système bancaire  qui, en plus, endette artificiellement  les Etats par des astuces juridiques médiocres (Loi de 1973 copiée dans le traité de Maastricht et ailleurs, etc..) 
Un hold-up planétaire par le pseudo endettement des Etats et surtout des peuples.
L'endettement des Etats souverains est une escroquerie mathématique et juridique car  seuls les Etats peuvent garantir  la valeur de la monnaie et sa création controlée.
Il y a eu une inversion de ce shéma mathématique afin de créer un impôt invisible / indirect  sur les peuples pour le profit d'une minorité qui planifie la désinformation dans les médias, dans les livres, dans les universités, etc...
La productivité industrielle
est déconnectée de la Masse monètaire. La rentabilité du bon technologique n'est pas vraiment quantifiable depuis 100 ans et il ne peut y avoir objectivement un endettement des pays. Il y a pillage !

C'est le peuple qui finance objectivement les banques, les paradis fiscaux, les "financiers", etc...  et non l'inverse.
Les Etats providences sont  pour ceux-là et non  pour les plus faibles de la socièté, des mièttes et encore...

 
Nous demandons maintenant de meilleures lois, respectueuses des plus faibles de la Socièté,  pour compenser  l'assistanat  insupportable en faveur de ces "pauvres" Paradis Fiscaux en grandes difficultés (coffres trop plein)  et de certaines de ces "pauvres"  grandes entreprises aux ententes croisées monopolistiques
Les dépenses sociales allant indirectement dans leurs poches au final ! simple vitesse et déplacement de la rotation monétaire.
Est-il Constitutionnel d'autoriser juridiquement les évasions fiscales et autres manoeuvres de destruction économique des Etats tout en discriminant les plus pauvres ?
Ce n'est pas l'interet général.
Option: coupures des transactions bancaires electroniques  avec les paradis fiscaux inutiles:  ON devient OFF, simple ! en 1 seconde... évasion fiscale réduite = impôts= rentrées fiscales, etc... et surtout Création Monètaire Etatique (controlée, gratuite et sans interets) et un peu moins de corruption...si possible !
Voir, le trop gênant, M. Bernard Marris (exécuté, hélas, est-ce La cible, hasard très curieux !? ):

https://www.youtube.com/watch?v=B6H2v4DaEyo
(en 1 minute: création monétaire ex-nihilo, ratio Cooke-Bâle 3)
  et
https://www.youtube.com/watch?v=6h8agmO6cq4      voir la démonstration à  6 minutes 38 secondes: Magistral et logique. Donc souveraineté monétaire des Etats sans endettement, sans l'esclavage bancaire inflationniste...
stop à l'escroquerie planètaire contre les peuples.
Madame Monique Pinçon-Charlot: https://www.youtube.com/watch?v=DnHUyRfY3Wc  (la réalité...cachée) instructif et courageux,  Grand Merci Madame (et conjoint) !

26 septembre 2020, (ref: A9cg)


















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